© 24 heures photos Georges Cabrera, Patrick Martin

Les relieurs artisanaux maîtrisent conservation patrimoniale et création

24 heures – Tribune de Genève, 16 août 2018, texte Martine Andrey ; photos Georges Cabrera, Patrick Martin

Journaux en ligne et liseuses électroniques ne découragent pas ces artisans qui continuent de former la relève. 

(extraits)

« J’ai une clientèle régulière qui me donne des séries de reliures suffisamment importantes pour assurer le roulement de mon entreprise », assure Charles Duch, propriétaire de l’atelier Au Bon Relieur à Vernier (GE), expert aux examens de fin d’apprentissage et formateur de sa septième apprentie.

Bibliothèques, administrations, avocats, notaires, associations, étudiants d’école d’art ou bibliophiles composent le gros de la clientèle. Mais la reliure artisanale s’étend aussi à la création artistique. « Nous nous axons sur la reliure contemporaine pour les particuliers et les artistes, ainsi que sur les séries auto-éditées et l’encadrement type « galerie » de gravures et photos », confirme Tessa Wymann, formatrice et associée de l’atelier dlignes à Vevey (VD).


Publié:

16 août 2018


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