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Abat-jouriste, un métier peu commun qui se transmet d'artisane à artisane

Le métier d'abat-jouriste est si rare qu’il n’existe pas de cursus de formation dédié. Afin d’apprendre à coiffer les lampes pour sublimer la lumière, l’apprentissage se fait uniquement entre générations d’artisans. Reportage dans un atelier genevois, dont la clientèle vient parfois de très loin pour recourir à ce savoir-faire.

Les abat-jouristes se transmettent les ficelles de leur métier uniquement dans le cadre feutré de leur atelier, puisqu'il n’est plus enseigné en école.

C’est ainsi que Chloé Gaidioz a, de fil en aiguille, appris à façonner les ornements de lampes. La jeune femme a été formée par Adelia Da Silva. "La formation de Chloé s'est très bien passée. Je lui disais toujours: Quand tu couds, il faut que tu aies les yeux dans les doigts", confie l'artisane aujourd'hui retraitée. Depuis 2022, Chloé Gaidioz a repris l'atelier-boutique d'Adelia Da Silva, perpétuant ainsi son savoir-faire.

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Abat-jouriste, un métier peu commun qui se transmet d'artisane à artisane

Publié:

26 janvier 2025


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